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Alain Duhamel
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Le Prince balafré : Emmanuel macron et les Gaulois (très) réfractaires
Alain Duhamel
- Éditions de l'observatoire
- Hors collection
- 13 Septembre 2023
- 9791032920084
Sur le papier, Emmanuel Macron avait tout du prototype de l'homme politique différent. En 2017, sa campagne allègre lui fait gagner le statut d'outsider original, éloigné des clivages fatigués de la droite et de la gauche. En 2022, la crise des Gilets jaunes, l'épidémie de Covid-19, la guerre entre la Russie et l'Ukraine, la réforme des retraites et les prises de parole malencontreuses du ferme mais obstiné président ont considérablement éraflé cette image de renouveau dynamique. Avec un atterrant taux d'abstention, Emmanuel Macron doit plus sa réélection à la peur que continuent d'inspirer les extrêmes qu'à son programme ou qu'à lui-même. Et tandis que le trio de tête de ces dernières présidentielles Macron-Le Pen-Mélenchon prouve, s'il en est besoin, la dislocation de la scène politique telle qu'on la connaissait, la Ve République, après un mandat jalonné de chocs inédits, tremble sur ses fondations - les Français sont dans la rue et beaucoup appellent au rejet ou à la rupture. Alain Duhamel analyse les splendeurs et misères du huitième président de la République, le plus singulier de tous, et des candidats à sa succession ; un portrait affuté des acteurs de la Ve, de leurs électeurs, des dynamiques et tensions économiques et sociales à l'oeuvre dans le paysage politique d'aujourd'hui et de demain.
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Emmanuel le hardi
Alain Duhamel
- Éditions de l'observatoire
- Hors collection
- 13 Janvier 2021
- 9791032905395
« Jadis, les rois de France étaient souvent affublés d'un surnom. Tantôt flatteurs, Philippe le Bel ou Louis XV le Bien-Aimé, tantôt moins agréables, Louis le Bègue ou Charles le Chauve. Il est tentant d'accoler aux présidents si monarchiques de la Ve République un tel surnom. Le général de Gaulle n'aura pas dédaigné de se voir honorer d'un Charles le Grand ; François Mitterrand aurait pu prétendre à François le Hutin à l'instar de Louis X ou encore Nicolas Sarkozy à Nicolas le Batailleur. Pour le président actuel, Emmanuel le Hardi semble le plus approprié. On aurait pu envisager aussi bien un Emmanuel le Téméraire, tant son élection relevait d'une audace presque impudente, tant son mandat se déroule sous le signe du risque perpétuel et des tensions permanentes. Mais qualifier le jeune président de « hardi » semble plus juste, puisque après tout la partie n'est pas jouée, l'échec n'est pas avéré, l'impasse n'est pas inévitable. Macron chevauche la stratégie du risque extrême mais aussi longtemps qu'il n'a pas renoncé, qu'il se bat, il subsiste une part de chance ; hardi plus que téméraire, même si la distance tient parfois à un fil. Car la France reste ce grand pays enviable aux orages non désirés. Y être président, c'est être impopulaire et être impopulaire, c'est être entravé. Voilà la malédiction présidentielle qu'Emmanuel Macron a la prétention d'affronter et de vaincre. Avec son courage et son énergie. Avec ses fautes et ses bourdes. Déterminé à réformer, donc en sursis perpétuel. Hardi. » A.D.
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« L'avantage de l'âge - il y en a - est que le sentiment de liberté ne cesse de s'accroître, comme si l'on redoutait inconsciemment de gâcher une matière politique périssable. D'où ces souvenirs d'un vieux chroniqueur. »
Lecteur insatiable, Alain Duhamel rêvait de devenir historien, mais un stage au Monde déclenche sa vocation : il sera journaliste. Dans la France bouillonnante des années 1960, ses éditoriaux sur les élections présidentielles, les événements de Mai 68 ou l'Europe sont déjà remarqués pour leur sérieux. La télévision, au moment où elle accueille le spectacle politique, appellera ensuite l'homme qui a interviewé cent fois Présidents et Premiers ministres : ce sera « À armes égales », « Cartes sur table », « L'Heure de vérité », « Le Club de la presse », et bien d'autres.
Être l'un des éditorialistes les plus lus et écoutés des Français et les plus craints des hommes politiques a un prix : critiques injustes et tempêtes accompagneront le parcours d'un homme fidèle à son exigence et à son honnêteté intellectuelle. Dans ce livre d'une sincérité frappante défilent soixante ans de vie politique et d'épisodes professionnels dont Alain Duhamel extrait de ses carnets les secrets, la grandeur, les drames et une analyse qui compte parmi les plus influentes et respectées de la presse française.
Journal d'un observateur est son livre le plus personnel. -
Depuis 50 ans, Alain Duhamel est le témoin privilégié de la vie politique française. Après le succès de ses Portraits-Souvenirs, il nous livre ici les scènes politiques les plus frappantes, les plus significatives, les plus pittoresques, parfois les plus cocasses et quelquefois les plus sombres auxquelles il a assisté. Une lecture inédite des temps forts de la Ve République.Depuis 50 ans, Alain Duhamel est le témoin privilégié de la vie politique française. Après le succès de ses Portraits-Souvenirs, il nous livre ici les scènes politiques les plus frappantes, les plus significatives, les plus pittoresques, parfois les plus cocasses et quelquefois les plus sombres auxquelles il a assisté. Une lecture inédite des temps forts de la Ve République. " A partir de 1965, j'eus très vite l'occasion d'assister à nombre de scènes politiques mémorables, publiques ou privées. La presse écrite, les livres, puis la télévision et enfin la radio m'ont permis de le faire sans désemparer depuis un demi-siècle, en assez bonne place pour avoir une vue directe sur les évènements et les hommes qui y contribuent. Sous les sept Présidents successifs de la Ve République j'ai ainsi, comme toute ma génération, vu défiler sous mes yeux Mai 1968, le départ fracassant du Général, les héritiers puis les alternances, l'Europe s'édifiant puis chancelant, les victoires de la gauche et le retour du libéralisme, les grands conflits sociaux, les fortes querelles sociétales, l'effondrement du communisme, la crise du capitalisme, trois vagues successives de dirigeants de la majorité comme de l'opposition.
Des centaines de scènes politiques, parmi lesquelles j'ai trié celles qui me semblaient les plus frappantes, les plus significatives, les plus pittoresques, parfois les plus cocasses, quelquefois les plus sombres. Comme toute sélection, celle-ci comporte une part assumée de subjectivité et une part nécessaire de hasard, selon que j'avais, ce jour-ci ou ce jour-là une vue plus ou moins plongeante sur les personnages de notre histoire. Ma mémoire n'est pas non plus impartiale, personne ne peut revendiquer d'être objectif. J'espère qu'elle est honnête et sans détour. Vider le sac de ses souvenirs est peut-être l'exercice d'écriture le plus plaisant pour un auteur, mais le seul bon juge en reste le lecteur. " Alain Duhamel -
Après 20 mois au pouvoir, qu'en est-il réellement de la présidence de Nicolas Sarkozy ? En fait, son style et ses méthodes sont plus français qu'il ne le croit lui-même.
Le Consulat est de retour. Il y a chez Nicolas Sarkozy bien des aspects d'un Premier consul contemporain. Certes, il n'est pas Bonaparte mais c'est un bonapartiste grand teint. Lui comme le Corse à ses débuts ont tendance à tout vouloir réinventer eux-mêmes. Ils avancent sur tous les terrains à la fois, s'étonnent qu'on s'asphyxie à les suivre, trébuchent en galopant. Leur ambition est immense. Issus l'un et l'autre d'une petite noblesse fraîchement établie en France après des épreuves, ils tiennent à démontrer leur supériorité. Dominateurs et sujets à de brusques anxiétés, ils ne doutent pas de leurs qualités mais ils craignent souvent que le destin ne se dérobe. Ils ont de grands espoirs et de sombres pressentiments. Ils ne résistent pas à l'ostentation. Ils aiment aussi beaucoup les femmes, avec emportement, non sans de cruelles déconvenues, non sans d'enviables succès. Là encore, la discrétion n'est pas leur fort. Ils ont de l'orgueil à revendre, une impressionnante promptitude d'esprit. Ils aiment décider, ils n'ont pas peur d'imposer. Ils attachent semblablement le plus grand prix à la mise en scène publique de leur action. Le nouveau président de la République se vit comme un cousin de Bonaparte à une époque aussi tourmentée, à sa manière, que le Consulat. Apparaîtra-t-il comme un nouveau Premier consul plus civil, plus démocrate, moins génial bien sûr, moins chimérique, moins submergé par le mythe de sa propre gloire mais aussi avide de marquer et de rompre ? C'est son rêve. Ce serait un miracle. Faut-il prier pour cela ? Alain Duhamel -
Les pathologies politiques françaises
Alain Duhamel
- Tempus perrin
- Tempus
- 12 Octobre 2017
- 9782262074623
Une analyse éblouissante de l'épuisement du système politique français.Dans le sillage d'Alexis de Tocqueville et de Raymond Aron, un essai magistral sur les huit plaies endémiques constitutives du mal français. Une écriture limpide au service d'une démonstration implacable.
" Un diagnostic pénétrant, où se rejoignent l'observation sans pareille [...] de notre vie politique et une curiosité intacte pour en comprendre les ressorts. " Le Monde
" L'éditorialiste est à son meilleur. " Le Figaro
" Le prince des chroniqueurs politiques [...] se livre à une introspection virtuose [...], celle des Français. " Les Échos Week-end
" Le portrait érudit de l'identité de la France. " Libération -
Alain Duhamel excelle dans les portraits politiques. Il nous livre ici, d'une façon très personnelle, les grandes rencontres de sa carrière.
" J'ai toujours voulu être journalistes politique et tous les lieux d'expressions m'ont attiré : radio, télévision, presse écrite. La chance d'avoir pu collaborer largement à tous ces médias m'a permis de rentrer en un demi-siècle tout ce que la France compte de personnages politiques, mais aussi intellectuels, syndicaux, ou religieux. Ma sélection est subjective et ne cherche en aucun cas à être exhaustive. Dans cette galerie de portraits, j'ai dépeint ces personnalités avec sincérité, sans mesquinerie je l'espère, mais aussi sans complaisance : telle que je les ai vues et connues. " A.D.Alain Duhamel est aujourd'hui éditorialiste à RTL, au Point et à Libération. Il est l'auteur de best-sellers, parmi lesquels Portraits d'un artiste, La marche consulaire et Cartes sur table avec son frère Patrice. " Ce livre, sorte de nuancier de la République, deviendra ouvrage de référence " Bruno Frappat, La Croix " Derrière le portraitiste Duhamel, le mémorialiste n'est jamais loin " Gérard Courtois, Le Monde -
La France et la Ve République étaient gaullistes quand la social-démocratie régnait en Europe. Les voilà socialistes depuis que l'Occident vire à droite et - paradoxe ! - plus monarchiques encore que sous le prince déchu, Valéry Giscard d'Estaing. Au-delà des discours partisans, Alain Duhamel explore et définit ici la nature profonde de la République de M. Mitterrand. Pour l'auteur, la campagne présidentielle n'a été réussie ni par le vainqueur ni par le vaincu : un pouvoir "aigre" s'est simplement substitué au pouvoir "froid" de l'ancienne caste dirigeante. Le triomphe socialiste est celui des classes moyennes, de la "République des professeurs". Et c'est avec brio qu'Alain Duhamel illustre ces réflexions par des portraits pleins de verve, tel celui du président et de son socialisme très personnel : un socialisme intellectuel, littéraire et moral, un socialisme à l'anglaise - très {fabien}, pour tout dire. Le P.S. au pouvoir, ce Gulliver, ainsi que le surnomme l'auteur, présente cependant des faiblesses et réserve bien des surprises : si le fonctionnement des institutions sous François Mitterrand relève, en politique extérieure, de la "tradition gallicane", dans le domaine économique et social intervient désormais le risque travailliste.
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La république giscardienne ; anatomie politique de la France
Alain Duhamel
- Grasset
- Littérature
- 1 Octobre 1980
- 9782246795223
Alain Duhamel part d'un constat : la France politique vit au rythme d'un souverain élu. En fait, l'essentiel du pouvoir y est détenu par lui ou issu de lui. Exemples et portraits à l'appui, cet essai démontre, avec beaucoup d'humour et de clarté, en quoi ce système ultra-présidentiel donne au chef de l'Etat plus d'influence réelle que dans n'importe quelle autre démocratie occidentale, les partis politiques ne faisant, en fin de compte, que conforter son pouvoir. Cette "spécialité française" s'appuie sur une classe dirigeante exceptionnellement homogène - les 5000 -, qui maintient une tradition colbertienne impérieuse et elle bénéficie, d'autre part, du sous-développement des contre-pouvoirs et de la faible participation des citoyens à la vie du pays. Cette société politique est donc infirme parce que inachevée et déséquilibrée. Elle se modernise aujourd'hui à doses homéopathiques. Tout se passe comme si, pour cela, elle acceptait de s'en remettre à une lignée de "despotes éclairés" : le premier, Charles de Gaulle, obsédé par le rang de la France, le second, Georges Pompidou, par la croissance de l'industrie, le troisième, Valéry Giscard d'Estaing, par l'intuition du modernisme.
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Une ambition française
Alain Duhamel
- Plon (réédition numérique fenixx)
- 18 Décembre 2015
- 9782259239547
L'Europe offre à la France la chance d'acquérir une nouvelle influence, et de forger une nouvelle ambition. Cela n'a rien de chimérique. En effet, l'Europe est, largement, une idée française et, depuis toujours, une histoire française. Notre pays a d'ailleurs donné de grands européens : de Briand à Robert Schuman, de Jean Monnet à Jacques Delors, du général de Gaulle - à sa rude manière - à Valéry Giscard d'Estaing ou François Mitterrand. Jacques Chirac et Lionel Jospin continuent cette tradition, en euro-réalistes déterminés. La France a souvent donné le ton, proposé des projets, forcé des blocages pour faire naître cette Europe. Ses atouts sont nombreux : la Grande-Bretagne reste prisonnière de sa culture insulaire et de son inconditionnalité anglo-saxonne, l'Allemagne est assujettie au poids de l'Histoire, l'Italie et l'Espagne ne jouent pas de rôle moteur. Ce parcours n'est pas sans embûches, et l'auteur ne nous cache rien de l'accouchement difficile de l'euro, du long chemin pour aboutir à un modèle social européen, des oppositions politiques internes virulentes, du difficile éveil d'une conscience européenne. Mais l'Europe est une nécessité et une occasion unique pour la France, si elle en a l'audace et l'énergie. Alain Duhamel montre bien, qu'en ce sens, les plus européens des Français sont aussi les patriotes les plus clairvoyants.
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Grandeur, déclin et destin de la Ve République ; un dialogue
Edouard Balladur, Alain Duhamel
- Éditions de l'observatoire
- 13 Septembre 2017
- 9791032900857
Édouard Balladur a été un acteur majeur de la Ve République. Alain Duhamel a observé et rencontré tous ceux qui ont fait son Histoire. Dans cet échange de vues, ils retracent soixante ans de vie politique pour finalement répondre à cette question : le régime politique pensé par de Gaulle est-il encore porteur d'espoirs ?
« Depuis 1958, la Ve République tranche et concilie la réalité d'un exécutif fort et d'une démocratie de plus en plus exigeante. La voici menacée de décadence. Peut-elle y faire face ? Le phénomène Macron en esquisse-t-il une réponse ? Rebat-il les cartes ? À quoi va ressembler la France qui vient ? »
Alain DUHAMEL
« La Ve République a eu de grands moments. Depuis, elle a décliné, connu l'instabilité politique, l'inefficacité des gouvernements. L'avenir impose à la France de profondes réformes, le renforcement de l'Europe mais aussi le devoir d'assurer la permanence de la nation. La nécessité d'un pouvoir fort justifie la Ve République. »
Édouard BALLADUR -
La cocotte-minute financière
Florence Duhamel, Alain Dunoyer De Segonzac
- Editions l'harmattan
- L'esprit économique
- 10 Octobre 2015
- 9782296513242
Après la Seconde Guerre mondiale, les accords de Bretton Woods ont posé un cadre économique mondial ayant généré plus de quatre décennies de croissance et de stabilité. Au début des années 1990, la mécanique a commencé à se gripper pour aboutir en juillet 2008 à la faillite de la banque Lehman-Brothers bientôt suivie du chaos financier et économique mondial. Comment est-on passé de l'ordre consensuel porté par Bretton Woods au désordre insensé qui prévaut aujourd'hui ?
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Le guide du cinéma mondial (2)
Gilbert Duhamel, Gaston Haustrate, Alain Keit
- Fenixx réédition numérique (syros)
- Les guides culturels
- 12 Décembre 2018
- 9782402310604
Il est troublant de constater qu'après cent ans d'existence, le cinéma, s'il a provoqué l'édition d'un vaste appareil critique et d'une énorme littérature monographique, a peu fourni l'occasion d'ouvrages historiques synthétiques réellement à la portée de tous. Ce Guide du cinéma mondial répond à ce besoin. Résolument didactique, revendiquant un statut initiatique précis, il a opté pour une forme susceptible de rendre l'approche de l'histoire du cinéma plaisante et sérieuse à la fois. Gaston Haustrate a puisé dans son expérience critique et un solide passé de militant cinéphilique les données d'une mise au clair historique qui ne doit rien à la pédanterie ni à la schématisation abusive. Ce survol documenté fournit l'armature pédagogique indispensable à une approche juste et globalisante d'un mode d'expression qui, en l'espace d'une vie humaine, a su s'imposer au travers de mutations multiples et variées dont les étapes charnières sont racontées ici avec ferveur.
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Dans ces entretiens inédits, entre analyses et anecdotes, les frères Duhamel livrent leurs regards croisés sur 40 ans de relations tumultueuses entre médias et politique.
Y a-t-il, en France, meilleurs connaisseurs des arcanes du monde politique et de l'univers des médias ?Alain et Patrice Duhamel ont, en bientôt quarante ans de carrière, côtoyé ou croisé les plus grandes figures de la Ve République et le gotha de l'audiovisuel : pas moins de cinq présidents, un imposant contingent de Premiers ministres, ainsi que le ban et l'arrière-ban de la sphère politico-médiatique.Frappés du sceau de l'infamie par la gauche en 1981, accusés de giscardisme, les " frères Duhamel " ont traversé toutes les tempêtes ces dernières décennies, en se tenant, sans discontinuer, pour l'un, au-devant de la scène, dans les colonnes du Monde, de Libération ou du Point, sur les tréteaux des chaînes de télévision et aux micros des radios (Europe 1, puis RTL). Et pour l'autre, aux premières loges, occupant au fil des ans les plus hautes responsabilités, à la télévision à la radio et dans la presse écrite.Dans ce livre inédit d'entretiens avec Renaud Revel, ils nous invitent pour la première fois dans les coulisses de leurs relations, souvent surprenantes, parfois houlouses, avec Valéry Giscard d'Estaing, François Mitterrand, Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy. Ils portent un regard inattendu sur le président de la République en exercice, qu'ils racontent par le menu et avec lequel Patrice Duhamel, l'ancien numéro 2 de France Télévisions, confesse et dépeint, ici, des rapports orageux.Renaud Revel est rédacteur en chef à L'Express.