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Marie Wahl
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Dyslexiques, dysphasiques, dyspraxiques, dyscalculiques... Nombreux sont les enfants qui souffrent de ces troubles cognitifs que l'on regroupe de façon générique sous le préfixe « dys » ou l'acronyme TSLA (troubles spécifiques du langage et des apprentissages), et qui compromettent l'acquisition des savoirs fondamentaux. Avec parfois de graves conséquences sur leur future vie professionnelle et sociale. Comment les dépister ? Quels sont les traitements et les méthodes pour les surmonter efficacement ? Comment accompagner au mieux les enfants et leur famille ? Marie Wahl et Gabriel Wahl passent en revue un large éventail de dys, y compris les plus méconnus (dyschronie, dysmnésie, dysproprioception, etc.). Proposant des pistes et des exemples concrets, ils prouvent, à l'appui d'une solide expérience de terrain, que les troubles dys ne sont pas une fatalité.
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Études françaises. Volume 51, numéro 3, 2015
Arnaud Bernadet, Bertrand Degott, Barbara Bohac, Sebastien Mullier, Armelle Herisson, Philippe Wahl, Francois-Marie
- Les Presses de l'Université de Montréal
- 15 Août 2019
- 9782760641129
Faire « vibrer la corde bouffonne », tel est le programme que s'assigne Théodore de Banville au seuil des Odes funambulesques en 1857, liant durablement poésie et comique. Sous le double patronage de Heine et d'Aristophane, ce recueil à dominante satirique rejoint sur bien des points l'essai philosophique de Baudelaire, De l'essence du rire paru deux ans plus tôt. Au sein d'une oeuvre apparemment unique en son genre, l'expression funambulesque représente en vérité une scansion majeure dans l'histoire de la poésie française. D'un côté, elle puise ses moyens dans la caricature, de l'autre, elle s'adosse à la fantaisie. Certes, la corde bouffonne n'est pas toujours drôle. Elle se révèle même souvent mélancolique et grinçante. Mais elle procède d'un dessein original puisqu'il s'agit pour Banville, par ailleurs théoricien longtemps admiré du Petit traité de poésie française (1872), d'inventer « une nouvelle langue comique versifiée », centrée notamment sur la rime. Ainsi s'amorce une tradition qui compte dans ses rangs aussi bien Rostand et Verlaine qu'Apollinaire ou Jarry. Du funambulesque au mirlitonesque s'opère de la sorte une mise en crise du « lyrisme », enfin délesté du pathos romantique et propre à ouvrir le poème à son indéfinition ou à sa redéfinition. Autant de voies possibles se dessinent alors qui alternent la virtuosité et le « mal écrire ». Important les procédés théâtraux jusqu'à la cocasserie et à la fumisterie, le comique use d'équivoques prosodiques comme de stratégies parodiques, visant en priorité la dégradation, voire la déformation du poétique.
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Métaphore et argumentation
Philippe Wahl, Marc Bonhomme, Anne-marie Paillet
- Academia
- 8 Septembre 2017
- 9782806121608
La métaphore a fait l'objet de nombreuses publications, mais son exploitation argumentative a suscité peu d'investigations systématiques en dépit de ses enjeux. L'objectif de cet ouvrage est de combler cette lacune en cernant le rôle de la métaphore dans l'argumentation, mais surtout en faisant retour sur la figure elle-même, pour décrire son potentiel argumentatif et la nature de ses manifestations.